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COVID-19

       La pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni a officiellement débuté le 31 janvier 2020. Bien qu'étant touché, le pays faisait état principalement de cas importés et n'était pas considéré jusqu'à mi mars, comme un foyer épidémique à la différence de l'Italie, de la France, ou de l'Allemagne.

 

Le 24 mars 2020, le Royaume-Uni met en place très tardivement et après en avoir d'abord nié la nécessité ou le bien-fondé un confinement national pour au moins trois semaines.

 

Le 25 mars, il est annoncé que le prince Charles, l'héritier du trône a été testé positif au Covid-1945.

Le 27 mars, le Premier ministre, Boris Johnson, annonce avoir été testé positif au coronavirus. Confiné, il affirme qu'« il continuera à mener la bataille contre le virus »46

 

S’en est suivi un déconfinement puis reconfinement dans certaines zones les mois suivant

 

 

     Depuis plusieurs semaines, et l'apparition d'une nouvelle mutation du Covid-19 dans le pays, qui a depuis été repérée dans plusieurs pays dont la France, la situation sanitaire britannique s'est brusquement dégradée.

Avec plus de 75.000 morts, dont 407 pour la seule journée du lundi 4 janvier, le Royaume-Uni est l'un des pays d'Europe les plus endeuillés par la Covid-19 et la tendance s'est aggravée ces dernières semaines. Le bilan des contaminations publié chaque jour dépasse les 50.000 rapporte le portail britannique dédié au coronavirus. Au total depuis le début de la pandémie, plus de 2,7 millions de malades y ont été enregistrés.

 

Les hospitalisations ont augmenté de manière significative en l'espace d'une semaine. Le 25 décembre, ils étaient un peu moins de 21.000 patients Covid soignés dans des établissements de santé sur l'ensemble du territoire britannique, contre presque 27.000 à l'heure actuelle (début janvier 2020).

 

Cette augmentation se traduit logiquement par une admission quotidienne à l'hôpital de plus en plus forte. Comme dernière donnée, les autorités sanitaires locales annoncent plus de 2400 hospitalisations quotidiennes. De plus, 1847 patients sont actuellement placés en soins intensifs.

 

 

 

 

     Le Royaume-Uni devient, lundi 4 janvier, le premier pays à administrer à sa population le vaccin du laboratoire britannique AstraZeneca et de l'Université d'Oxford contre le Covid-19, tout en envisageant un nouveau tour de vis sévère pour freiner l'aggravation de la pandémie.

Brian Pinker, un Britannique de 82 ans, a reçu à l'hôpital Churchill de l'université d'Oxford la première injection de ce vaccin "national", dont 520 000 doses sont prêtes à être distribuées, a indiqué le service public de santé britannique (NHS) dans un communiqué.

 

 

Selon les dernières données communiquées, plus de 944.000 Britanniques ont déjà été vaccinés contre le Covid-19.

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